Avec un seul investissement immobilier, Michael dégage un cashflow mensuel de 700 euros grâce à la location courte durée.Découvrez l'histoire de Michael dans cette vidéo, et notamment comment il en est arrivé à se dire qu'il vallait mieux louer sa résidence principale.N'hésitez pas à m'indiquer dans les commentaires ce que cette histoire vous inspire.
Sébastien: Michael, bonjour !
Michael : Bonjour Sébastien !
Sébastien : Merci d’être présent aujourd’hui. Alors, est-ce que tu peux s’il te plaît te présenter, nous expliquer d’où tu viens et ce que tu fais dans la vie ?
Michael : Alors, je m’appelle Michael. Je viens de Grenoble. Je suis ingénieur en informatique dans la vie et j’ai commencé à m’intéresser à l’investissement immobilier en 2015.
Sébastien : D’accord ! Alors, je connais très bien la partie ingénieur informatique. Tu sais que c’est mon ancien métier également. Parfait ! Justement, est-ce que tu peux nous expliquer comment tu en es venu à l’investissement immobilier, nous expliquer pourquoi as-tu choisi la location courte durée ?
Michael : Ok ! Donc, l’investissement immobilier, j’y suis venu suite à une déconvenue, on va dire d’achat, de mauvais achat de ma résidence principale que j’avais achetée en 2008, que j’ai voulu vendre en 2014 suite à l’évolution de ma famille. On a eu une petite fille ma femme et moi. On avait un T2 qui commençait à être un peu petit pour nous et donc, on a commencé à dire : « ce serait bien qu’on déménage pour plus grand. »Donc, on a mis notre appartement en vente. Donc, l’appartement que j’avais acheté en 2008 à un prix assez élevé et que j’ai eu énormément de difficultés à vendre en 2014, donc plus tard, suite à une chute des prix immobiliers. Donc voilà, au final, cela s’est soldé par une vente assez mauvaise et donc une grosse réflexion sur l’état de mon patrimoine après quinze années de travail en tant que salarié.
Sébastien : Cela, c’est important de le souligner parce que souvent on dit qu’on a réalisé de mauvais investissements locatifs, mais on peut également réaliser une mauvaise opération immobilière sur sa résidence principale. C’est ce qui t’est arrivé finalement, tu as vendu moins cher que ce que tu l’avais achetée.
Donc une remise en question, explique-nous la suite ?
Michael : Donc en discutant avec un ami qui travaille sur internet, il m’a dit : « ah tiens, il y a des gens qui expliquent comment faire de bons investissements immobiliers sur internet. » Mais, c’était quand même une chose qui me parlait. Donc, j’ai commencé à aller voir sur internet un peu ce qui se disait et j’avoue que j’ai été assez surpris et très curieux quoi, tout de suite de ce que je pouvais entendre et lire ici et là.
Donc voilà, tout de suite, je me suis formé à cela. J’ai regretté de ne pas avoir fait cela avant même d’acheter ma résidence principale en fait parce que je pense que c’est quelque chose qu’on devrait faire avant même d’acheter sa résidence principale.
Sébastien : Tu veux dire, on ne devrait pas acheter sa résidence principale ou on devrait se former aussi pour acquérir sa résidence principale.
Michael : Se former aussi pour acheter sa résidence principale.
Sébastien : Alors, je suis tout à fait d’accord avec toi parce que souvent on achète sa résidence principale sur gros coup de cœur. On va chercher sa capacité maximum d’emprunt et ce n’est surtout pas ce qu’il faut faire.
Michael : Tout à fait. Donc du coup, parallèlement à cela avec ma femme, on s’est mis à chercher à racheter. Enfin juste après la vente, on s’est mis à rechercher notre future résidence principale comme on avait en tête d’acheter à ce moment-là. Voilà, cela a duré quelques mois et on s’est rendu compte que finalement on n’avait pas les moyens d’acheter l’appartement ou la maison dans laquelle on voulait vivre. Puis avec ce que je pouvais lire et entendre sur l’investissement immobilier, cela a changé ma façon de voir les choses.
Sébastien : Finalement, tu étais dans cette problématique là parce que d’un côté tu voulais acheter ta résidence principale, mais qui coûtait trop cher par rapport au budget que vous aviez, mais d’un autre côté tu voulais aussi réaliser un investissement immobilier par rapport à tout ce qui commençait à germer dans ta tête. Alors, la suite ?
Michael : Donc voilà, finalement, j’ai décidé de louer ma résidence principale. Aujourd’hui, on peut habiter un appartement suffisamment grand et dans un endroit qui nous plaît beaucoup, qui correspond à notre budget. Et à côté de cela, l’investissement que je voulais faire dans l’immobilier, je l’ai fait pour faire du locatif et notamment en courte durée sur Grenoble.
Sébastien : D’accord ! Alors cela, c’est très important parce que tu es en train de dire que finalement ta résidence principale, tu n’as pas pu te l’offrir, mais par contre tu peux la louer. Et la capacité d’épargne que tu as économisée en louant cette résidence principale, elle t’a servi à réaliser un investissement immobilier.Michael : Exactement !
Sébastien : Excellent ! Donc, dis-nous tout de cet investissement.
Michael : Cet investissement, c’est un T2 40 m² au centre de Grenoble, très central, assez proche de la gare et très proche de l’hyper-centre de Grenoble. C’est un T2 avec pas mal de cachets que j’ai acheté déjà rénové en fait.
Sébastien : Moi, j’ai vu les photos. C’est vrai qu’il est magnifique. En plus, vous avez très bien aménagé et très bien décoré
Michael : Donc, on a mis en location sur Airbnb en janvier 2017. On l’a acheté en décembre 2016. Le 13 janvier 2017, il était sur Airbnb. On a juste eu trois semaines pour… enfin, on a mis trois semaines pour le meubler et le décorer à notre guise. Les réservations ont démarré assez vite. Donc, cela a été très rassurant assez rapidement.
Sébastien : Qu’est-ce qui t’a poussé à faire de la location en courte durée plutôt que de la location meublée traditionnelle ?
Michael : Alors, pour moi, cela avait un côté assez rassurant finalement dans le sens où pour… La crainte qu’on a quand on débute un peu des fois dans l’investissement immobilier, ce sont les impayés, ce sont les vacances locatives, juste comme cela. Alors, je n’étais pas convaincu qu’à Grenoble la location courte durée allait fonctionner. Je ne connaissais personne qui faisait ça.
Par contre, cela m’a rassuré de savoir que le bien immobilier, comment dire, cela nous rassurait de limiter les risques d’impayés parce qu’en location courte durée, le paiement est fait à la réservation.
Sébastien : À l’avance.
Michael : On garde la disponibilité de l’appartement finalement et une chose assez intéressante, je m’étais dit : « si jamais, cela ne se passe pas aussi bien que je veux, je pourrais toujours aller habiter là-bas. » Cela me rassurait donc sur plusieurs points.
Sébastien : Donc en fait, tu as utilisé ce type d’exploitation pour limiter les risques locatifs, pas de risque de loyers impayés puis la possibilité toi de profiter de ce logement si jamais tu aavais eu besoin de te retourner.
Alors, pour en revenir à cet achat immobilier, comment est-ce que tu l’as acheté ? Tu as mis de l’apport, comment cela s’est passé ?
Michael : Alors comme apport, j’ai seulement mis les frais de notaire et les meubles.
Sébastien : D’accord !
Michael : C’est ce que la banque m’avait demandé. Je n’ai pas spécialement cherché à batailler.
Sébastien : Alors, c’est vrai qu’on a regardé les chiffres avant de démarrer cette interview, je pense que les frais de notaire, ils passaient largement dans le budget de l’investissement au regard de ce que tu dégages avec cet appartement. Mais bon voilà, ce n’est pas très grave. En tout cas, tu as quand même réussi à financer un projet à 100 % puisque la banque a financé la totalité du projet immobilier. Donc, il n’y avait pas de travaux, c’est ce que tu nous disais et tu as amené les frais de notaire. Ok ! Parfait !Donc maintenant, si on parle chiffres, cet appartement te coûte combien tous les mois en crédits, en charges fixes puis quel cashflow, quelle rentabilité tu tires derrière ?
Michael : Alors en crédit, j’ai des mensualités de 470 € à peu près. Une fois qu’on a rajouté les charges d’internet, d’électricité, de copro, taxe foncière ; tout cela, on arrive à 700 €. Donc que je loue 23 nuits par mois à 67 € en moyenne. Donc, cela arrive à un cashflow mensuel de 700 € une fois que j’ai enlevé aussi les frais de ménage.
Sébastien : D’accord ! Donc, tu as 1400 € de loyer et tu tires un cashflow de 700 € de cet appartement, sachant que tu délègues en plus la partie ménage, c’est ce que tu m’as expliqué.
Michael : Seulement le ménage aujourd’hui en s’occupe encore du reste.
Sébastien : Donc toi, tu as fait ce choix parce que c’est important de le dire parce qu’on peut composer en fait sur ce qu’on a envie de garder ou de déléguer, donc tu as délégué le ménage, par contre tu fais les entrées, les sorties et tu gères le linge également.
Michael : Ouais !
Sébastien : D’accord ! Mais voilà pour tout cela, ces trois petites tâches qui j’imagine ne te coûtent pas non plus 5 ou 6 heures de travail par jour, c’est 700 € tous les mois qui tombe net d’impôt dans ta poche. Excellent ! Donc bravo pour cet investissement et ces excellents résultats.
Michael : Merci à toi !
Sébastien : C’est vrai, on se connaît un petit peu. Est-ce que tu peux nous expliquer ce que cela a changé dans ta vie ? Est-ce que c’est plus confortable ? Puis, je pense que cela a même donné des idées à ta femme.
Michael : Tout à fait ! Ce que cela a changé dans ma vie, c’est déjà… Donc, c’était un projet de couple tout cela. Donc moi, de mon côté, cela m’a permis de me rassurer, de me redonner un peu déjà une satisfaction personnelle d’arriver à se générer un revenu de manière autonome en étant salarié depuis pas mal d’années. Finalement, on se demande quelles capacités on a à faire cela.
Donc, une confiance personnelle, une envie d’entreprendre en plus. Puis voilà, c’était donc un projet de couple et cela nous a fait avancer tous les deux dans une autre direction. Et ma femme qui était aussi à un tournant dans sa vie professionnelle, cela lui a permis de s’orienter vers une nouvelle activité qui aujourd’hui, elle est mandataire immobilière indépendante.
Sébastien : Auparavant, elle était ?
Michael : Auparavant, elle était directrice de centre de loisirs pour enfants.
Sébastien : Rien à voir ! Rien à voir ! En fait, elle a pris goût à l’immobilier. Elle a changé d’orientation professionnelle pour se lancer dedans. Donc, comment est-ce que vous envisagez l’avenir maintenant ?
Michael : On est en train de rechercher un deuxième bien. Justement, elle fait des visites ce matin pendant qu’on tourne.
Sébastien : Je pense qu’en plus elle est maintenant à la bonne place pour aller faire les visites. Elle a le bon boulot pour faire les visites.
Michael : Exactement ! Donc voilà, on est en train de chercher un deuxième bien, en courte durée ou colocation.
Sébastien : Vous avez pris goût à l’immobilier.
Michael : Ouais, voilà !
Sébastien : Ce que tu dis est très important. Je vais revenir là-dessus. Tu disais : cela m’a donné une impression de devenir un entrepreneur et une fierté d’aller chercher de l’argent tout seul, sans dépendre d’une activité salariée, sans dépendre d’un boss, sans dépendre d’un patron et c’est tout à fait normal.
Et imagine la tête d’un patron ou d’un supérieur quand l’un de ses employés viendrait lui dire : « je voudrais 700 € d’augmentation tous les mois. » C’est improbable, mais par contre on voit que c’est très facile à réaliser avec l’immobilier et en particulier la location courte durée.
Donc, 700 € sur une première opération. Imaginons que vous fassiez la même chose sur une deuxième opération, on est déjà à 1400 € de revenus complémentaires pour le foyer. Ce n’est quand même pas négligeable et cela met vraiment du beurre dans les épinards.
Michael : Carrément !
Sébastien : En tout cas, merci Michael, pour ce joli témoignage.
Michael : Merci à toi !
Sébastien : Écoutez, n’hésitez pas à vous inspirer de l’histoire de Michael. Michael est une personne tout à fait normale. Tu le confirmes.
Michael : Tout à fait !
Sébastien : Voilà ! Parfait ! Écoute, merci beaucoup d’être passé ici.
Michael : Merci !
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