Dans cette interview, je vous propose de découvrir Léa.A 24 ans seulement, Léa a déjà un très joli parcours immobilier : 3opérations immobilières pour un total de 10 appartements.Grâce à des astuces et des techniques qu'elle dévoile dans cette interview, Léa nous explique comment elle arrive à vivre de l'immobilier et de la location courte durée.Si le parcours de Léa vous inspire, n'hésitez pas à me l'indiquer dans les commentaire ci-dessous.
Dans cette vidéo, je vais vous présenter Léa.
Alors, Léa est une personne qui a démarré la location courte durée avec un studio, puis un immeuble, puis dernièrement une surface de 90 m² qu’elle a découpé en six logements.
Alors, j’ai interviewé Léa il y a 10 mois mais je publie la vidéo uniquement aujourd’hui parce que les travaux de son dernier investissement locatif, c’est-à-dire celui de la surface qu’elle a découpée en six logements ont pris énormément de retard.
Mais aujourd’hui, maintenant que ce projet est en exploitation, il lui ramène plusieurs milliers d’euros de cashflow tous les mois.
D’ailleurs, Léa cherche à revendre cet investissement pour acheter sa résidence principale. Et pour information, elle vent le projet clé en main, c’est-à-dire les six appartements, le mobilier, les annonces qui ont été créées en ligne, le site internet qu’elle a créé pour ce projet immobilier, les réservations qui sont en cours, le système complet de délégation et elle propose également une formation à la personne qui se portera acquéreur.
Donc, si ce projet vous intéresse, n’hésitez pas à entrer en contact avec moi et je vous transmettrai les coordonnées de Léa.
En attendant, je vous propose de découvrir dans cette interview vidéo l’aventure immobilière de Léa et je vous dis à très, très bientôt !
Sébastien : Bonjour !Je suis Sébastien du blog louer-en-courte-duree ; et dans cette vidéo, je vais vous présenter Léa.
Bonjour Léa !
Léa : Bonjour !
Sébastien : Alors, la particularité de Léa, c’est qu’elle fait évidemment de l’immobilier. Et par contre, elle fait de l’immobilier en location saisonnière. Donc, en plein dans mon secteur d’activité. Mais vous allez voir que Léa, elle a des stratégies d’investissement qui sont peu communes et c’est vraiment la raison pour laquelle je voulais qu’on fasse cette vidéo ensemble. Ela, est-ce que tu peux te présenter, nous dire ton âge, qu’est-ce que tu as fait comme études et est-ce que tu as commencé par travailler en tant que salariée ?
Léa : Alors, donc j’ai 23 ans, je vais avoir 24 ans dans un mois. Et j’ai commencé à investir dans l’immobilier, j’ai acheté mon premier bien en septembre 2013, donc, ça fait un peu plus de 2 ans déjà maintenant. Alors, moi, j’avais fait des études de Tourisme, j’avais fait un BTS Tourisme et une Licence Entrepreneuriat, et j’avais fait, donc ça fait 3 ans, puisque la licence, c’était Licence Professionnelle. Et alors, oui, j’étais salariée parce que j’étais en contrat d’apprentissage. Donc, du coup, j’étais deux semaines en cours et deux semaines au travail. J’avais seulement cinq semaines de congés payés par an. Enfin…
Sébastien : Seulement.
Léa : …. Comme tous les salariés.
Sébastien : Et donc, à partir du moment où tu a été diplômée, tu t’es dit la vie de salarié, ce n’est pas fait pour moi ? Parce que Léa peut-être vous le dire mais c’est une personne qui aime beaucoup, beaucoup, beaucoup voyager. Et donc, tout de suite, tu voulais te libérer de certaines contraintes.
Léa : Voilà. Moi, mon but, c’était de voyager et c’est pour ça que j’avais fait des études de Tourisme. Mais sauf qu’en fait, quand on fait des études de Tourisme, c’est cool, on peut voyager mais au final, on n’est pas totalement libre. Par exemple, si accompagne un groupe de 10 personnes en Italie, il va falloir qu’on s’occupe d’eux de 9 heures à 9 heures, quasiment H24. Et moi, ce que j’aime beaucoup, c’est faire ce que je veux quand je veux, avoir ma liberté. Donc, du coup, c’est pour ça que je me suis intéressée à l’immobilier parce que c’était le meilleur moyen.
Sébastien : Donc, tu t’es dit que l’immobilier allait te permettre de vivre la vie "de tes rêves".
Léa : C’est ça.
Sébastien : Alors, est-ce que tu peux nous expliquer la première et la deuxième opération que tu as faite ?
Léa : Alors, la première opération, j’ai acheté un studio. Donc ça, c’était en septembre 2013. J’ai acheté un studio que j’ai décidé de louer en location saisonnière sachant que pour moi, ça m’a paru totalement logique parce que j’ai travaillé pendant 3 ans dans une abbaye qui avait 37 chambres et j’étais chargée de développer cette abbaye, faire venir du monde. Donc, du coup, je le faisais déjà avec 37 chambres dans une ville encore plus petite que la ville où j’ai décidé d’investir. Donc voilà, c’est pour ça la location saisonnière, ça m’a totalement parlé, vu que c’était déjà mon quotidien.
Sébastien : D’accord. Donc, tu as acheté ton premier appartement ?
Léa : Oui.
Sébastien : À Niort ?
Léa : À Niort.
Sébastien : D’accord. Qui a dégagé une belle rentabilité, en saisonnier, et tu t’es dit je veux acheter…
Léa : Un immeuble.
Sébastien : Un immeuble.
Léa : Parce que du coup, à Niort, il y a beaucoup… Ce sont des maisons de ville. Et en fait, elles sont à trois niveaux, donc, rez-de-chaussée, première étage, deuxième étage, elles sont toutes comme ça et souvent, il y a un studio par niveau. Donc, ça fait trois studios dans un immeuble. Bon, après, ça ressemble d’esthétique à une petite maison.
Sébastien : D’accord. Alors, quand on vous dit "immeuble", il ne faut imaginer le gros immeuble parisien avec 10 étages et 50 logements. Donc vous pouvez acheter des immeubles à trois logements, c’est ce qu’a fait Léa. Et un immeuble, donc du coup, ne coûte pas forcément plusieurs millions d’euros. Donc, finalement, après avoir acheté cet immeuble, donc, tu t’es retrouvée avec quatre appartements que tu exploitais en location saisonnière ?
Léa : Oui.
Sébastien : D’accord. Est-ce que tu peux nous donner juste quelques chiffres sur le cashflow que tu générais avec ces logements ?
Léa : Alors, une fois que j’ai payé tout, même mon crédit… même en mettant une marge pour les travaux, tout ça, il me restait 1200 € par mois. Mon objectif est atteint parce que je voulais, c’était avoir cette somme-là tous les mois qui tombe comme ça pour pouvoir voyager, faire ce que je voulais.
Sébastien : D’accord. Donc, en fait, tu n’étais pas salariée à partir du moment où tu exploitais ton immeuble et ton appartement en location saisonnière. Donc, tu avais déjà débranché la case salariée.
Léa : Oui.
Sébastien : D’accord. Ok. Alors, pour continuer, Léa ne s’est pas arrêté là. Est-ce que tu peux nous expliquer ce que tu as fait par la suite ?
Léa : Alors, en fait, du coup, suite à ça, j’ai vraiment eu une passion pour l’immobilier. Donc, maintenant, j’ai envie d’investir tout le temps.
Sébastien : C’est addictif, hein.
Léa : Oui. J’ai envie de rechercher de bonnes affaires, j’ai envie de visiter des appartements, de négocier... Et sauf que j’étais un peu bloquée parce que comme je n’avais plus de CDI, je ne pouvais plus forcément réemprunter auprès des banques et j’avais envie de continuer, surtout qu’au quotidien, je rencontre aussi plein de personnes qui investissent donc ça donne encore plus envie. Et voilà. Donc, j’étais un peu bloquée et donc, à partir de là, j’ai cherché une solution pour réemprunter et donc je me suis dit que le seul moyen de réemprunter, c’est de revendre un bien que j’ai déjà. Mais du coup, j’ai eu l’idée de revendre en tant qu’appart hôtel, en tant que business avec une certaine rentabilité. Et comme j’avais une très bonne rentabilité de l’ordre de 30-35% brut, du coup, je me suis dit que j’allais le revendre avec une rentabilité plus faible pour l’acquéreur mais déjà bonne. Et puis, comme ça, j’allais pouvoir faire une plus belle plus-value.
Sébastien : D’accord. Donc en fait, ce qu’elle est en train de nous expliquer, c’est qu’elle a revendu son immeuble, mais elle n’a pas revendu l’immeuble au prix du marché locatif, elle a vraiment revendu son affaire.
Léa : Oui.
Sébastien : Voilà. Et c’est en fait en récupérant l’argent de cette affaire que tu as pu réinvestir derrière.
Léa : Oui. C’est ça. Donc, j’ai revendu l’immeuble, donc je l’avais acheté tout compris 82000 €, je l’ai revendu 158000 €. Et du coup, j’ai pris ces 158000 € pour réinvestir dans un nouveau projet.
Sébastien : Alors, ce qu’il faut préciser au passage, c’est que la garantie bancaire qu’avait Léa sur l’immeuble, en fait, était de type crédit logement. Et dès l’instant que vous revendez un bien immobilier avec cette garantie bancaire, le cash, vous n’êtes pas obligés de l’utiliser pour rembourser la banque mais vous pouvez le garder pour vous. Et bien entendu, le prêt initial continue à courir. Donc, ce qu’a fait Léa, c’est qu’elle a gardé le cash et qu’elle a réinjecté dans son nouveau projet immobilier. Donc, c’est-à-dire que sur son nouveau projet immobilier, elle continuait à rembourser le prêt de l’immeuble.
Léa : Voilà.
Sébastien : Est-ce que tu peux nous expliquer du coup, parce que j’imagine que tu n’es pas partie sur un nouveau projet immobilier pour gagner la même chose ou moins mais tu avais une stratégie de croissance. Tu m’as expliqué que tu voulais voir grand, que tu étais ambitieuse, tu as un objectif à 5000 € par mois de revenus locatifs. Donc est-ce que tu peux nous expliquer ce que tu as fait ?
Léa : Donc, du coup, comme j’ai acheté un bien le double, forcément, je vais potentiellement gagner le double parce que je cherche toujours à avoir une excellente rentabilité. Voilà. Donc là, j’ai changé de ville aussi. Je voulais aller sur une ville un peu plus grande. Et puis aussi, ce n’était pas très correct de réinvestir à l’endroit où j’avais vendu l’appart hôtel, je n’allais pas en remonter un juste à côté, ce n’est pas très correct. Donc là, je suis allée sur La Rochelle et potentiellement, je peux avoir vraiment une très bonne rentabilité. Je vise, je pense que là, je vais tomber, en étant pessimiste, avec 2000 € - 3000 € par mois, mais en étant optimiste et ambitieuse, je préfère avoir 5000 € par mois.
Sébastien : Les gens doivent se dire mais comment elle fait pour viser entre 3000 € et 5000 € par mois. Donc, il faut savoir que sur cette opération, Léa a allié deux stratégies pour booster sa rentabilité. Est-ce que tu peux nous en parler ?
Léa : Alors, du coup, ce que j’ai fait tout simplement, c’est que j’ai acheté un bien que je vais diviser en plusieurs appartements pour, du coup, que le prix au m² soit moins élevé. Et là, j’achète un bien où je vais en faire six ! Voilà. Donc, du coup, forcément, ça ne revient pas très cher à l’achat et voilà.
Sébastien : Donc, tu achètes une surface qui fait combien de m² ?
Léa : Alors, ça fait 90 m².
Sébastien : 90 m². Et dans cette surface-là, tu vas découper en six petits logements.
Léa : Six. Voilà. Ça fera 14-15 m².
Sébastien : D’accord. Ok. Alors, j’imagine que pour en arriver là, tu as des travaux à effectuer.
Léa : Oui. Bah, il faut tout refaire, je vais tout cassé puisque de toute façon, il fallait créer six appartements dans un, donc voilà.
Sébastien : Tu délègues, j’imagine, les travaux ?
Léa : Ah oui !
Sébastien : Puisque là, j’imagine qu’il y a un budget travaux assez conséquent.
Léa : Oui.
Sébastien : Tu as rencontré des difficultés particulières sur les travaux ?
Léa : Bah, alors là, ils sont en cours donc je vais bien voir si j’ai des problèmes qui vont apparaître.
Sébastien : Pas de problème de retard, d’évacuation d’eau parce que c’est peu commun quand même.
Léa : Pour l’instant, je ne sais pas vu que les travaux, ça fait un mois qu’ils ont commencé, un peu moins parce qu’il y avait les périodes de Noël. Mais donc, un mois et ça doit être terminé d’ici un mois, un mois et demi. Après, je vais voir. Moi, ce qui me faisait le plus peur, c’était de trouver un bon artisan. Ça me faisait beaucoup plus peur que chercher un bien puisque tout ça, maintenant, je sais faire vu que c’est la troisième fois que je le fais. Ce qui me faisait peur, c’était quand même l’artisan, la gestion des travaux parce que je n’y connais rien. Je ne sais même pas si je sais peindre par exemple. Donc voilà.
Sébastien : Ok. Alors, ce qu’il faut retenir de l’aventure de Léa, c’est qu’en fait, elle a utilisé le levier de l’immobilier pour revendre un business et a récupéré le cash pour acheter un autre bien immobilier qui va générer une rentabilité beaucoup plus importante et qui va lui permettre d’atteindre son objectif ambitieux. En tout cas, c’est tout le mal que je te souhaite. Est-ce que tu veux donner un conseil peut-être pour les gens qui nous regardent et qui voudraient, soit se lancer dans le saisonnier, soit dans la division de lots comme tu as fait.
Léa : Mon seul conseil, c’est d’y aller même si vous avez un peu peur parce que c’est vrai que ça fait peur. Quand j’ai commencé à acheter mon premier studio, je ne pensais pas que j’allais acheter un immeuble. Et là, je ne pensais pas que j’allais acheter un bien que j’allais diviser en six. Donc, à chaque fois, c’était quand même un cran au-dessus pour moi parce que si on m’avait dit, il y a deux ans : "dans deux ans, tu achèteras un immeuble", je n’y aurais pas forcément cru. Donc, il faut peut-être y aller progressivement comme moi j’ai fait. Mais en tout cas, il faut oser. Et même si, par exemple, les travaux, ça me fait très peur, je le fais parce que je sais que c’est ça qu’il faut que je fasse pour réussir. Donc à ce moment-là, j’y vais.
Sébastien : Donc, effacer les vieilles croyances et passer à l’action. Moi, c’est le message que je retiens de ton intervention.
Léa : Voilà. Pour résumer.
Sébastien : Bah écoute, je te remercie beaucoup Léa. Je te souhaite beaucoup de bonnes choses dans ta nouvelle aventure immobilière à La Rochelle. Tu me tiendras au courant ?
Léa : Oui.
Sébastien : Ok. Merci beaucoup. À bientôt !
Léa : À bientôt !
Sébastien : Au revoir.
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